« Fourrure de chaton », « Haleine de chiot », « Nouveau né »… Autant de produits disponibles dans la ligne de fragances de la société américaine Demeter Fragance Library (DFL).
Comment ? Grâce à un procédé complexe de récupération, d’analyse et de reproduction des nombreuses molécules présentes dans le cou du chaton (pour le parfum « Kitten Fur » par exemple). Le directeur de DFL, monsieur Mark Crames aurait mis quinze ans à trouver le bon mélange, tout en respectant la contrainte de limitation du nombre de molécules que l’on peut mettre sur la peau.
Pourquoi ? Pour nous faire du bien ! Parce que ces odeurs ont pour bénéfice paraît-il de libérer de la dopamine, l’hormone du plaisir.
Il paraît que ces senteurs réveillent nos instincts de parents… Qu’en pensez-vous ?